top of page
jei-lee-yRXuXvy4sQ4-unsplash.jpg

Dr Edward Bach

Médecin, Bactériologiste, découvreur de l’énergie curative des fleurs.

« Edward Bach naît en 1886 dans une famille de classe moyenne, mais il hésitera plus tard à faire supporter à son père le coût financier d'études médicales.

Finalement, ce dernier prend connaissance du besoin impérieux qui pousse son fils vers l'art de guérir et finance volontiers son entrée à l'Université de Birmingham en1906. De là, Edward Bach se rend ensuite à Londres pour y achever sa formation au Collège Universitaire, où il obtient son diplôme de médecin en 1912. […]

Photo Dr Bach.webp

Bien qu'il s'attache à l'étude livresque, il consacre plus de temps à observer chaque patient et à vérifier l'exactitude de nombreux faits personnels intéressants concernant les maladies. L'une des conclusions auxquelles il aboutit est qu'un même traitement ne guérit pas toujours une seule et même maladie. ll en conclut que le caractère du patient a plus d'importance que son état physique bien que celui-ci ne puisse évidemment être ignoré. Vingt années d’observation des malades, et une connaissance étendue d'un domaine de recherche original en bactériologie le conduisent à la découverte d'un nouveau type de médecine. […]

En 1913, sa mauvaise santé l'oblige à abandonner le poste de chirurgien du service des urgences. Une fois rétabli, il exerce dans différents cabinets de Harley Street. Il s'intéresse alors à l'immunologie et prend un poste d'assistant en bactériologie ; il met d’ailleurs au point de nouveaux vaccins qui se révèlent efficaces dans de nombreuses pathologies rhumatismales.

Au cours de l'année 1914, il s’épuise au travail et s'effondre. Une habile intervention chirurgicale le sauve, mais on lui donne que trois mois à vivre. En dépit - ou plutôt en raison - de ce sombre pronostic, il revient assumer la responsabilité des laboratoires, tout en restant très faible. Au bout de quelques mois, oubliant sa mauvaise santé sous le poids du travail, il reprend des forces, à la stupéfaction de son entourage. Pour sa part, il en conclut que c'est la conscience d'une tâche à accomplir dans son existence qui lui a rendu la santé. […]

Bach ne fait rien à moitié : en 1930, il abandonne une pratique médicale qui lui rapporte 5 000 livres par an et consacre tout son temps à la recherche de remèdes floraux. […]

​

Pendant six ans, il poursuit dans cette voie ; chaque été, il découvre quelques remèdes, puis traite et guérit les malades l'hiver. II n'emploie que les fleurs des plantes et des arbres, grâce à la mise au point d'un procédé de dynamisation faisant appel à l’énergie des rayons solaires.

Sa découverte, tout aussi révolutionnaire, menée à bien avec une abondance de détails que seule l'observation minutieuse des patients permet, établit qu'il faut non pas traiter la maladie, mais l'humeur et les traits de caractère du sujet.

Après avoir découvert 38 remèdes, guéri des centaines de personnes, et rédigé deux brochures exposant son propos avec simplicité et clarté, il meurt paisiblement en 1936. »

Par Nora Weeks

Entretien sur rendez-vous

Tarif : 50 € TTC

(modes de règlement : chèque ou espèce)

Contact

sandra.prieto13@gmail.com

07 64 84 10 31

24b rue Pierre-André-Charron

33240 Saint-André-de-Cubzac

Ou en visioconférence

bottom of page